6 - Docs utiles

Le nouveau DDRM de Vaucluse

« Le DDRM n’est utile que s’il est connu »

C’est par cette affirmation que monsieur Gonzalez, préfet de Vaucluse, a ouvert la première réunion de la commission Départementale des Risques Naturels Majeurs (CDRNM)

Une réunion exclusivement informative, et tournée vers la présentation du Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM)

« Le dossier départemental des risques majeurs constitue le document de référence des risques dans le Vaucluse pour apporter l’information que la population est en droit d’attendre. Ainsi, il a vocation à participer à la culture du risque dont le développement constitue un objectif essentiel de l’action publique » précise le préfet dans sa préface au document

Un tel document existait dans notre département depuis 2008, et FNE Vaucluse avait relayé cette information. Aujourd’hui, les services de l’Etat ont perfectionné ce DDRM, de façon à en faire un outil extrêmement complet d’information et d’aide à la prévention.

Quatre grands chapitres peuvent être explorés :

– se préparer (en toutes circonstances)

– Prévenir et agir (en cas de risques et de menaces)

– s’informer (sur l’action de d’Etat)

– s’engager (pour aider en cas de crise)

L’utilisation d’Internet a permis cette adaptation : le dossier actuel est évolutif, actualisable au fur et à mesure des changements dont nous devons tenir compte. De surcroît, par le biais des liens multiples qu’il propose, il permet l’accès à la multitude d’observations, d’articles, de règles dont nous pourrions avoir besoin.

Du plus grand (problèmes climatiques mondiaux ou directives européennes) au plus petit (la parcelle que vous possédez, ou souhaitez acheter, est-elle susceptible d’être impactée par un risque naturel ?), vous trouverez les réponses aux questions que vous vous posez.

FNE Vaucluse insiste auprès de tous ses adhérents sur l’importance de ce document : en connaître, au moins, l’existence est d’autant plus une nécessité que nous avons pu constater combien peu des élus concernés s’étaient déplacés ce 31 mars.
A l’exception notable de quelques maires conscients des obligations liées à leur présidence de Syndicat Mixte de Bassin ou de commission locale de l’eau (CLE), nos élus semblent moins sensibles à la notion de risque que leurs administrés…
A nous, associations, de les aider dans cette prise de conscience